Traditionnellement, l'histoire (occidentale) des sciences considère que
le rôle des grandes civilisations arabes, du VIIIe siècle à la
Renaissance, a été celui d'une courroie de transmission entre les
savoirs de la Grèce antique et la science moderne. Depuis, de nombreux
travaux ont infirmé cette vision simpliste. A. Djebbar fait le point sur
cette indispensable réévaluation.


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